C’était au temps où le plus vieux chêne du Béarn n’était qu’un gland ! Des êtres étranges rodaient le long des gaves : un Bécut à l’oeil unique mais au gros appétit, des animaux affamés qui chantaient faux, un cornu-biscornu trop souriant pour être honnête… Que faire pour rester en vie ?
Le béarnais a l’esprit fin, dit-on et la béarnaise semble bien rusée car dans les coundes de chez nous, on trouve des solutions étonnantes face aux mauvaises rencontres...