Lettre d’amour (1953, 1h38 VOST)
Actrice mythique de l'âge d'or du cinéma japonais, immortalisée à l'écran chez Kenji Mizoguchi, Yasujiro Ozu ou Mikio Naruse, Kinuyo Tanaka marqua les esprits en devenant la première femme cinéaste de l'après-guerre.
Cette pionnière en son pays réalisa six films entre 1953 et 1962, dans lesquels elle touche à tous les genres, passant avec brio du mélodrame intimiste à la fresque d'époque, de la comédie sentimentale au récit d'apprentissage.
Autant d'inoubliables portraits de femmes, qui témoignent d'une voix singulière dans la grande histoire du cinéma japonais classique
Lettre d’amour (1953, 1h38 VOST)
Reikichi, un marin démobilisé, vit dans l’obsession de Michiko, une femme qu’il a aimée avant la guerre. Quand il n’erre pas dans les rues de Tokyo à la recherche de son amour perdu, il fréquente son frère Hiroshi, qui rêve d’ouvrir une librairie, ou bien Naoto, un camarade devenu écrivain public.
Ce dernier écrit des lettres en anglais pour les jeunes femmes abandonnées par les G.I. américains, à qui elles réclament de l’argent.
Un jour, Michiko fait irruption pour qu’on lui écrive une lettre...